Une soif de formation et d’information S’informer et se former à la construction durable reste primordial pour l’ensemble des parties prenantes qui ressentent le besoin d’en maîtriser tous les aspects pour contribuer à la développer. Ainsi, si 64 % se déclarent suffisamment informés, seuls 26 % estiment être parfaitement formés sur le sujet. Mais la volonté est là : 79 % ont déjà bénéficié d’une formation ou ont l’intention d’en suivre une. Non informés : Informés : Pourcentage de la population se sentant plus oumoins informée sur la construction durable : 64 % 36 % Oui, tout à fait Oui, plutôt Non, pas vraiment Non, pas du tout Des freins à lever S’inscrire dans une démarche de construction durable induit un véritable changement de paradigme. Choix des matériaux, techniques, mesures et certifications : leur mise en œuvre est pour beaucoup synonyme de contraintes. En tête des obstacles : le coût pour 70 % des personnes interrogées. Pour autant, nombreux sont conscients que le retour sur investissement d’une construction durable n’est pas uniquement financier mais doit prendre également en compte les impacts humains, comme par exemple les dépenses de santé. Il semblerait en revanche que la majeure partie des personnes interrogées considèrent que la construction durable apporte suffisamment de preuves de son utilité, puisque seules 28 % d’entre elles les trouvent insuffisantes. Le coût Le manque de formation et de qualification des professionnels Le manque de connaissance du grand public La réglementation et/ou les normes Le manque de collaboration entre les différentes professions de la construction et du bâtiment L’insuffisance des preuves sur les apports réels de la construction durable 26 % 70 % 56 % 55 % 52 % 43 % 28 % 28 % 8 % 38 % > 81 CONSTRUIRE LE FUTUR
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